AU FIL DES JOURS > L’IMAGE – Canada : Chrystia Freeland, de journaliste internationale aux Affaires étrangères
Changement de ton aux Affaires étrangères : c’est une spécialiste de la « ploutocratie » qui dialoguera désormais avec les gouvernements, y compris celui de Donald Trump. À l’opposé du ton posé et discret de Stéphane Dion, Chrystia Freeland n’a pas particulièrement la langue dans sa poche. Persona non grata en Russie — elle a été bannie du territoire en 2014 par Vladimir Poutine lui-même —, la nouvelle ministre est connue pour ses positions dénonçant les inégalités croissantes entre les mégariches et la classe moyenne.
Née en Alberta en 1968, Chrystia Freeland a d’abord mené une imposante carrière de journaliste qui l’a fait rayonner en Europe. Forte d’un diplôme en littérature et histoire russes de Harvard et de la prestigieuse bourse Rhodes qui lui a permis d’aller à l’Université d’Oxford en études slaves, elle fait ses premières armes comme journaliste en travaillant pour le Financial Times, le Washington Post et The Economist depuis l’Ukraine où elle est basée.
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